Conclusion
Nous avons donc vu que l’hydrophobie est une propriété qui caractérise de nombreux organismes naturels et se présente de différentes façons. On peut l’appliquer à plusieurs matériaux et à l’aide de plusieurs moyens, plus ou moins écologiques, et ayant chacun des avantages mais aussi des inconvénients.
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En effet, le spray hydrofuge permet de rendre tous les matériaux hydrophobes et est économiquement abordable. En revanche ses composants sont nocifs et cette capacité de résistance à l’eau ne persiste pas longtemps et seulement un des côtés du matériau peut être traité à la fois. Quant à la chromatogénie, elle respecte les piliers du développement durable, est économiquement abordable et grâce à cette méthode l’effet hydrophobe est durable dans le temps. Seulement, à l’inverse du spray seuls les matériaux constitués de cellulose peuvent être traités.
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Bien que notre expérience n’ai pas abouti à de résultats concluants, nous pouvons continuer à penser qu’en appliquant l’hydrophobie aux coques de bateaux, l’angle de contact augmenterait et nous pourrions ainsi diminuer la quantité d’énergie pour une distance parcourue équivalente. En utilisant une quantité inférieure d’énergie on préserverait donc notre environnement en diminuant la production de gaz à effet de serre.
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Ainsi l’hydrophobie peut être appliquée à différents matériaux pour des innovations en faveur de l’environnement. Mais le principe étant très récent, il n’est pas encore développé. Il faudra donc encore plusieurs années avant que son utilisation génère des résultats conséquents pour l’amélioration de la planète.